produits alimentaires n’ont pas été constatées dans les espaces où sont massés les ports-au-princiens par milliers pour fuir d’éventuelles répliques de la secousse de Mardi.

 

Des hébergés se plaignent d’être abandonnés à eux-mêmes. Ils déclarent n’avoir rien reçu depuis Mardi : ni visite ni produits alimentaires, alors qu’il leur manque tout. Le pire c’est que de nombreux blessés, sur des brancards, ont été remarqués ça et là Jeudi au Centre Sportif Dadadou, qui reçoit les habitants de Delmas 3 et zones avoisinantes.

 

Jusqu’à ce Vendredi 15 Janvier 2009, des cadavres en putréfaction jonchaient les rues de la capitale haïtienne. Les passants, qui sont par dizaine de milliers dans les rues, utilisent les moyens du bord pour se préserver d’odeurs nauséabondes. 

 

Des fosses communes sont déclarées dans divers endroits par les autorités municipales de la région de Port-au-Prince. N’empêche que dans certains quartiers, les citoyens creusent eux-mêmes des fosses pour enterrer leurs morts au péril de leur santé.

 

Entre-temps, les opérations de repêchage continuent dans les décombres des édifices effondrés. Certains gardent encore des survivants. Mais, les spécialistes étrangers, déployés sur place, ne sont pas en quantité suffisante et sont, par conséquents, limités dans leur intervention. Des riverains, se sentant interpellés, s’aventurent sur les masses de bétons pour essayer d’évacuer cadavres et survivants.

Moi je pouvais plut alors je suis en Gwada mais je retourne un ou deux jours avec mes parents sur les lieux du séisme, je suis dsl si tu te fais des soucis à mon sujet je tends veux pas non tu n’as rien avoir avec ce que je ressens pour le peuple Haïtiens. On a des répliques toutes les heures.

Ce qui veut dire que rien n’est fini en ce qui concerne le déplacement de la terre.je dirais plut le chevauchement de la terre l’un sur l’autre.